L. a deux enfants qui lui réclament une pension alimentaire. Sa fille majeure a brillamment réussi son diplôme d’esthéticienne, mais n’a jamais exercé. Elle vit dans « une oisiveté chronique ». Les magistrats considèrent donc que le géniteur a « accompli son devoir en lui permettant de suivre des études normales sanctionnées par un diplôme ». Papa est déchargé de toute contribution.
La fille cadette a abandonné ses études, mais pratique l’équitation avec succès et « espère trouver une situation dans ce domaine ». La Cour croit y voir « une insertion sociale aléatoire, en raison de l’activité choisie » ( sic ), mais sort un joker, considérant « qu’il convient de laisser sa chance à l’enfant ». L est donc logiquement condamné à verser 1800 F par mois pour sa future championne.
Notons tout de même que les recherches menées à ce jour n'ont pas démontré que l'enfant ait fait grande carrière en compétition !!
( Cour d’Appel de Pau – Chambre 2 – 23 avril 1985 )
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